Mon  développement personnel et professionnel, comme les accompagnements que je propose, s’appuient sur une formation universitaire en SIC (Sciences de Information et de la Communication) – Licence et Maîtrise SIC en IUP  info-com 2001 à 2004, avec notamment l’étude des travaux des chercheur.e.s de l’école de Palo Alto, créée par Gregory Bateson, qui présuppose qu”il est impossible de ne pas communiquer” et que tout agissement est communication. Tout non agissement également.

L’école de Palo jette les jalons de la systémie, de la cybernétique, et vient bouleverser la psychologie et la psychologie sociale, considérant que l’ensemble « comportement – communication – relation » forme “un tout” qui est le domaine propre de la psychologie et l’objet d’analyses dont le sujet/objet principal est ‘”ici et maintenant”. Mais dont les effets s’étirent dans le temps, selon l’instant d’analyse qui demeure dans l'”ici et maintenant”

Plus simplement : Les théories de système, élaborées par Gregory Bateson ainsi que les chercheuses et chercheurs de l’école de Palo Alto ont révolutionné la psychologie, la psychologie sociale et sont à l’origine des Thérapies brèves et systémiques ; ainsi que des techniques d’influences plébiscitée par les commerciaux, marketeurs, politiques. Les phénomènes observés sont encore aujourd’hui observables et transposables à l’ère nouvelle du numétiques, et les nouveaux outils et techniques de masse continuent d’influencer les populations non informées à leur insues, exerçant une hypnose de masse qui vient ajouter aux diverses pressions sociales qui pesaient déjà sur les individu.e.s. 

Le rôle de l’éducation et de l’apprentissage des langages du numériques et du code fait d’ailleurs l’objet de recherches passionnantes dans le domaines des SCI, de la psychologie sociale (la “psychologie des groupes et des individu.e.s sous influence/autorité”), notamment par l’arrivée des Identités Numériques qui entraînent des troubles dissociatifs de l’identité, du cyberharcélément, etc.

Ma méthode d’accompagnement s’appuie aussi sur la pratique de PNL (Programmation Neuro Linguistique), une discipline qui vise à transmettre des techniques d’hypnose conversationnelle inspirée notamment de l’analyse de la pratique de Milton Erickson (psychiatre et praticien en hypnose). La PNL s’inscrit dans le courant de l’école de Palo Alto et propose des outils concrets pour accompagner le changement des personnes et/ou des organisations mais aussi pour commencer à entamer un dialogue avec les émotions qui ont un des langages spécifiques.

Comme la plupart de vous n’a pas eu la chance d’étudier les Sciences de l’Information et de la Communication à l’université, je vous partage un topo qui permet de cerner le champ de pratique de la PNL.

Commençons par un petit topo historique qui permet de cerner le champ de pratique :

La PNL  comme Sciences de l’Information et de la Communication

La PNL a été créée dans les années 1970 aux Etats Unis par deux chercheurs  : John Grinder (linguistique qui travaillait sur la grammaire transformationnelle) et  Richard Bandler (psychologue qui animait des ateliers en Gestalt-Thérapie créée par Fritz Perlz) et s’intéressait notamment aux travaux de Virginia Satir, connue pour avoir appliqué les concepts de systémie dans la thérapie familiale.

On a donc deux chercheurs en SIC, passionnés par l’influence du langage verbal et non verbal dans les échanges d’informations conscients et inconscients, par la systémie et la cybernétique, qui nourrissent la croyances que les mots ont une influence sur les maux et les systèmes…  Que les pensées influent le corps ; ce qui avait d’ailleurs été démontré par les études qui ont mis en évidence l’effet placebo, ou nocebo.

En parallèle, à l’époque, trois thérapeutes de génie faisaient parler d’eux comme experts en thérapies brèves : Milton Erickson, Virginia Satir et Fritz Perlz. Trois thérapeutes proches et/ou influencés par les travaux de Gregory Bateson, que John Grinder et Richard Bandler connaissaient également (tout le monde connaissait Bateson dans les sciences sociales et la communication, et il connaissait tout le monde).

C’est d’ailleurs Bateson lui-même qui a permis le rapprochement de J. Grinder et R. Bandler avec Milton Erickson.

Les deux chercheurs expérienceurs  ont commencé à étudier la façon de travailler de ces thérapeutes d’excellences qui obtenaient des résultats qu’on disait “magiques”. Il s’agissait d’étudier leurs pratiques pour voir si il y avait des points communs, qui pourraient en lumière une structure ou des outils pratiques reproductibles ; et par la-même démystifier ces histoires si nombreuses de changements de comportements et de guérisons rapportés comme extraordinaires, voire magiques.

Ils ont trouvé que OUI 🙂 et ont publié une partie des résultats de leurs recherches dans « La structure de la Magie I » qui décrypte une partie des secrets du langage et offre de précieux outils de questionnements et de recherche de solutions.

« La structure de la Magie II » est d’avantage axé communication et changement. S’en suivront de nombreux ouvrages, séminaires, formations qui permettent des réussites exceptionnelles, restées anonymes ou connue. Le PNListe le plus connu mondialement actuellement est Anthony Robbins, qui a largement contribué à faire connaître la PNL avec son livre « Pouvoir illimité », devenu bestseller, et ses séminaires qui réunissent + de 3000 personnes sur 3 jours plusieurs fois par an, partout dans le monde.

Celles et ceux qui s’intéressent à la communication et/ou à la PNL ou à l’hypnose connaissent également Robert Dilts et sa Pyramide de niveaux logiques (années 80) toujours enseignée à l’université en SIC, dans les écoles de commerce, en Institut d’Études Politiques, et en école d’hypnose dites ericksonienne dont les formations des praticien.n.es actuellement”certifié.e.s” se sont construites sur les travaux de Richard Bandler et John Grinder. Il suffit de lire les ouvrages pour le savoir et découvrir de nombreuses autres ressources non transmises.

Revenons à la naissance de la PNL : nous sommes dans les années 70, on est entré dans l’Ère des “Mass médias”, les médias de masse (la grande majorité des ménage est équipée de télévision qui devient un outil d’influence massive) , les chercheurs et théoriciens des sciences et techniques de l’information et de la communication se rallient majoritairement autour des travaux de Gregory Bateson, célèbre anthropologue, psychologue et épistémologue américain. Ce génie est à l’origine d’un courant qui sera appelé « l’école de Palo Alto » du nom de la ville où bon nombre de chercheurs se sont rassemblés pour travailler particulièrement sur la cybernétique et les théorie de systèmes. Cette intelligence collective a permis de poser  les bases d’une approche systémique et interactionniste qui a littéralement révolutionné les sciences de l’humain et de la société, faisant entrer les SIC dans les sciences humaines.

Les travaux de Grégory Bateson et des chercheurs de l’école de Palo Alto sont en partie inytégrés à la PNL puisque Gregory Bateson connaissait John Grinder et Richard Bandler, auxquels il a d’ailleurs présenté Milton Erickson.

Les travaux de Gregory Bateson et des chercheurs de l’école de Palo Alto marquent la naissance des “Sciences de l’Information et de la Communication » ainsi que des Thérapies brèves ; et les théoriciens entrent dans le domaine des sciences sociales.

C’est à dire que les SIC sont considérées comme des sciences molles (science sociales), au même titre que la psychologie. En France, l’institutionnalisation des Sciences de l’information et de la communication française s’effectue en 1975 par la création de la 71^e “section” du Conseil national des universités.

Pour résumé, dans les professionnels du verbe/de la tchatche au début de la communication de masse (avec de nouveaux outils et techniques), il y a à cette époque deux courants :

• ceux qui utilisent la communication et ses outils techniques de façon consciente avec des fins thérapeutiques (plutôt dans la lignée psychothérapeutique ou psychanalytique)
• ceux qui utilisent la communication et ses outils technique de façon consciente afin de pour vendre une image, une marque, un service ; ainsi que pour changer ou induire des comportements (marketing, commerce, politique)

John Grinder et Richard Bandler ont intégré les deux courants en développant  la PNL  qu’ils ont su vendre et faire vendre, tout en permettant à des milliers de personnes de trouver des solutions concrètes rapides pour alléger leurs blessures émotionnelles, changer des comportements, augmenter en performance, en efficacité et confiance en soi.

En effet, la programmation neurolinguistique propose des outils concrets pour atteindre l’excellence, selon ses propres objectifs de développement personnel et professionnel.

Les fondements de la Programmation Neuro Linguistique

La pratique de cette discipline s’appuie sur la compréhension et l’intégration de  12 présupposés de la PNL devenus incontournables :

1 : « La carte n’est pas le territoire »
2 : Le corps et l’esprit agissent l’un sur l’autre et font parti d’un tout (« d’un même système cybernétique »)
3 : Tout comportement est sous-tendu par une intention positive
4 : Nous ne sommes pas nos comportements
5 : A chaque moment, toute personne fait le meilleur choix possible en fonction des informations dont elle dispose.
6 : L’inconscient est un réservoir de ressources et chacun possède toutes les ressources pour effectuer les changements voulus.
7 : Le cadre utilisé pour percevoir une situation détermine le sens qu’on lui accorde
8 : Il n’y a pas d’erreur, seulement du feedback
9 : Quand quelque chose ne fonctionne pas, faites autre chose
10 : Il est impossible de ne pas communiquer
11 : Il est plus aisé de se changer soi-même que de changer les autres
12 : La modélisation en PNL : il est possible de reproduire les performances des autres

C’est en tout cas ces 12 présupposés qui m’avaient été transmis par l’institut Psynapse, où j’ai suivi une formation de praticien en PNL en 2017. Il était même demandé aux élèves de les apprendre par cœur ! Donc je vous les partage parce que ces croyances influencent mon rapport au monde, et donc mes accompagnements.

J’avais déjà entendu parler de la discipline aux cours de mon IUP en Sciences de l’Information et de la communication (2001-2004) mais aussi dans ma Licence Art du spectacle, option études théâtrales que j’ai faite en parallèle, pour poursuivre mon cursus initial en lettres et linguistique.

Intégrer ses présupposés – ou m’imaginer le faire et en expérimenter les effets – m’a donné accès  à une compréhension plus fine du langage des émotions qui continue de s’affiner aux fils des partages et cocréations en séances avec vous, merci.

La PNL pose comme principe de base :

• que nos perceptions et nos croyances (pensées, valeurs, appréciations) influent sur nos émotions (ressentis/états internes/sensations) ; ce qui influe par nos comportements. On pourrait donc changer de comportement en changeant de perception et/ou de croyance par rapport à nos capacités, par exemple.
• Les habitudes sont des programmes qui ont été appris. L’être humain est une machine à apprentissage. Chaque comportement est un apprentissage qui peut être changé par un autre apprentissage.
• L’objectif pour un.e accompagnant.e en programmation neuro linguistique vise l’accompagnement à l’autonomie : lui apprendre à apprendre (à remplacer un apprentissage –comportement- qui n’est plus adapté, par un autre). Un PNListe expert est « capable d’apprendre à apprendre à apprendre » et cela se mesure.

Les recherches en PNL s’intéressent donc beaucoup aux théories de l’apprentissage et s’appuient sur l’expérimentation. Je vais donc, comme promis, vous partager progressivement le fruit de mes recherches et expérimentations par le biais du blog de Ere Libre, association que j’ai créée en 2018.

Apprendre à décoder nos programmes émotionnels avec la PNL

Je crois, comme beaucoup et pour faire simple, qu’on a deux parties en nous : une partie consciente et une partie inconsciente.

Jusqu’ici rien de neuf.

Je crois aussi que notre partie consciente s’exprime principalement par des mots et des pensées alors que notre partie inconsciente s’exprime principalement par des émotions et des sensations qui entrainent des réactions en activant des programmes.

Comme j’ai eu l’intuition il y a quelques années que le langage émotionnel est celui de l’inconscient – au côté du langage onirique qui a fait l’objet des études de Freud (qui a d’ailleurs abandonné l’hypnose pour développer la psychanalyse) – j’ai entrepris d’apprendre à décoder le langage émotionnel qui est non verbal

Je crois aussi que nos émotions sont nos alliées pour répondre à nos besoins ; et cela même si elles provoquent des symptômes aux sensations inconfortables : peur, angoisse, colère, honte, dégout, ou des sentiments de rejet ou d’abandon.

Cette sur cette croyance personnelle, que les émotions sont un des langages de l’inconscient, qui parle de nos besoins, que j’ai fondé mon développement personnel et professionnel depuis 8 ans.  Les émotions, c’est le langage privilégié de l’inconscient et elles visent notamment à faire monter des informations utiles à notre bien-être.

Encore faudrait-il que nous ayons appris à communiquer avec notre inconscient, donc avec nous-même… Avant de chercher à mieux communiquer avec l’autre (dont on dit qu’il n’est qu’un miroir, d’ailleurs 😉

Je suis d’abord partie à la découverte de mon langage intérieure et je me suis formée à l’hypnose, l’auto-hypnose à la programmation neurolinguistique et à des techniques de libérations émotionnelles (techniques de visualisation, concentration et de respiration de yoga, EMDR et dérivés, EFT, … ) puis j’en ai fait une pratique professionnelle.

Celles et ceux qui viennent en cabinet connaissent ma théorie et continuent d’avancer dans la pratique à la découverte de leurs langages pour répondre à leurs besoins.

L’accompagnement en hynocoaching PNL vise à encourager l’autonomie des bénéficiaires, ce qui implique la transmission progressive des outils et méthodes dont j’ai pu expérimenter l’efficacité.

Alphabet de la grammaire émotionnelle des besoins

• Tristesse : Joie
• Colère : Paix
• Peur, angoisse : Sécurité, sérénité
• Dégout : goût
• Honte, culpabilté : Amour propre
• Rejet, abandon* : Amour propre

Pour rappel, l’alphabet de la grammaire émotionnelle définit que Tristesse, colère, peur, angoisse, dégoût, honte, culpabilité sont des émotions qui viennent nous parler de nos besoins. Ce langage universel comporte des nuances de couleurs/codages qui sont propres à chacun.e ; et évolutives.

Les émotions ne se tairont pas tant que les besoins ne seront pas satisfaits : au mieux (au pire ?) il y aura déplacement de symptôme. Toutes nos émotions sont nos allié.es et ont des enseignements à transmettre : elles portent en elles leurs solutions. D’où l’importance de les codes particuliers de sa grammaire personnelle dans la grammaire universelle.

Le kit du débutant en grammaire émotionnelle

Oui, les émotions sont parfois tellement inconfortables que nombreuses sont les personnes qui essaient de les « gérer » ou d’en baisser l’intensité en tentant de les anesthésier (sport, anxiolytique, drogues : alcool, sucre et psychotropes, suralimentation, fuite dans la multiplication d’activités…).

L’apprentissage de ta grammaire émotionnelle sera facilité grâce à l’outil n°1 que je recommande, qui te fera gagner beaucoup de temps et qui est gratuit : (re)mets la Respiration au centre de ta vie : le souffle.

Je te rappelle ici les bénéfices de la cohérence cardiaque sur la gestion des émotions : souviens-toi qu’au delà des bienfaits immédiats ressentis, ce retour au souffle 3 fois par jours et avant de dormir t’entraine à reprogrammer tes pensées, changer tes comportements et a agir librement et en alignement avec tes valeurs, ce qui nourrit amour propre, paix, joie, créativité et plein d’autres trucs hyper cool.

A bientôt, prends-soin de toi : ton bien-être est une priorité, et nous sommes partir intégrante d’un tout !

BienEtre-Libre.fr

PS : Nous sommes à un tournant historique de l’histoire : si tu connais personnellement des prestataires du Bien-Etre et des métiers de l’accompagnement (hypnose, naturopathie, ostéopathie, coaching, sophrologie, EMDR, psychothérapie, médecines traditionnelles chinoises, Programmation NeuroLinguistique, yoga, massages) qui partagent les valeurs de l’Association Ere Libre, tu peux leur transmettre cet article qui explique en quoi la fermeture des services de Doctolib aux non professionnels du médical ou paramédical est une révolution de marché de la visibilité en ligne pour TOUT.E.S les Prestataires des pratiques de soins non conventionnelles et médecines complémentaires aux soins médicaux contemporains officiels actuellement en vigueur.

Cela va impacter le référencement de l’ensemble des sites internet des professionnels de ces métiers. Il est impossible que ça se passe autrement. Et s’ils veulent savoir comment sortir leur épingle du jeu et développer une activité prospère, j’accompagne actuellement personnellement et gratuitement en “hypnocoaching de lancement d’activité”, la première vague des Ambassadrices et des  Ambassadeurs de BienEtre-Libre.fr . Je ne me contente pas de conseiller de rédiger dès à présent leur fiche profil : je donne des conseils en développement professionnel quelque soit leur activité, dès lors qu’ils adhèrent aux valeurs de l’association Ere Libre. Il y a suffisamment de bétatesteurs et c’est désormais les Ambassadrices et Ambassadeurs de Bien Etre Libre que je commence à former pendant que le développement se poursuit 🙂 C’est déjà fonctionnel mais pas suffisamment stable, donc pas officiellement lancé.

Pour info (je vais pas te faire le parcours, il doit y avoir les grandes lignes sur linkedin), ma dernière expérience professionnelle en entreprise étaient chez Oxatis, en 2025/16, qui était alors leader européen du e-commerce (la bo$ite a été capitalisée en bourse ensuite, puis revendue). La société proposait des e-boutiques en abonnements mensuel à des c-ommerçants. Plus de 5000 clients. Mon travail c’était de repérer les boutiques qui avaient le plus gros ROI (retour sur investissement) et essayer de écrire des témoignages en au nom du patron/client, pour dire comment il s’y prend pour gagner de l’argent en ligne avec sa boutique. Et pour gagner de l’argent en ligne, le client/patron (c’est beaucoup des hommes) investissait sur des services additionnels proposés par la société. Également, je rédigeais les newsletters hebdomadaires, des articles de blogs,  à destinations de nos clients, avec des informations relatives aux marché en ligne ; et dans uns stratégie de référencement naturel, notamment, et de vente. J’ai fait péter les scores. Je suis aussi venue en support de l’équipe commerciale. Tout ça pour dire que je sais de quoi je parle quand je parle de marché ; j’ai vendu mes services et conseils chers d’ailleurs. J’ai aussi développé une maladie auto-immune. J’étais pas en axe avec mes valeurs, ou plus exactement je me sacrifiais pour mes valeurs. Mais je ne le savais pas encore, c’était encore inconscient. Je croyais qu’en pénétrant ce système, en y prouvant ma performance/valeur et en endossant des responsabilités, j’allais le changer de l’intérieur. J’ai fait un “burnout”. Ma chance c’est d’avoir découvert le chemin du soin. C’est passé encore par la communication,  ma passion.

J’ai compris – d’autant que je suis passée par pas mal de diagnostics médicaux- que si je me suis tellement passionnée pas la communication, c’est parce que je me suis toujours sentie en décalage.

Et c’est vrai, j’ai des comportements hors du commun, qui s’expliquent en partie par des neuro-atypismes ; mais aussi par des apprentissages, des expériences.

J’ai beaucoup souffert des jeux d’influences et de domination, d’autant que je suis une femme, et métisse.

Bref, grâce à cette maladie auto-immune, je me suis dis que mes maux venaient me dire quelque chose auquel mon conscient n’avait pas accès. Et cette mal – a- dit m’a amenée à vouloir entamer un dialogue avec “mon inconscient” via l’hypnose, la PNL, le yoga, les techniques de respiration, la méditation, zazen. A  débuter un Master en information et documentation également, qui sont les enjeux actuels des SIC. Je suis depuis un moment inquiète par les stratégies de manipulation déployées à grande échelle par le web, les réseaux sociaux et actuellement l’IA. Celà soulève d’autant plus des questions relatives à ‘Humanisme Numérique à créer pour protéger nos libertés ; et que j’ai à cœur de contribuer à faire connaître aux côtés des chercheurs actuels des Sciences de l’information et de la communication, des sciences de l’éducation et du langage, de la psychologie sociale, qui s’intéressent aux apprentissages à l’ère du numérique. À  l’importance de l’Education aux Médias et à l’Information des populations, en particuliers des jeunes générations dont les libertés risquent d’être plus en plus réduites à une illusion maintenue par des algorithmes élaborés par des personnes et organisations dont il  convient de vérifier les intérêts intérêts et motivation (lire par exemple “à quoi rêvent les algorithmes de “Dominique Cardon, ou “Pour un humanisme numérique” de Milad Douheihi, “du tag au liké” de Olivier Ledeuf, “En commun”  de Hervé Le Crosnier, ou encore “deux pouvez et des neurones” de Sylvie Octobre, “Petite poucette” de Michel Serres mais aussi des ouvrages sur le Big data et ses enjeux). Pour celles et ceux que ça intéressent d’en savoir plus, écrivez-moi à prisca@ere-libre.com, ça me motivera à partager quelque.s connaissances.

Je ne disgresse pas tout à fait : j’ai encore besoin de beaucoup de temps “pour moi”. Pour pouvoir prendre soin des autres, il faut savoir prendre soin de moi. L’activité est donc réduite actuellement en cabinet. Ressourcement oblige. Je reviendrais d’avantage à transmettre.  Juste un peu de patience… Les forêts poussent en silence. Nous sommes de plus en plus nombreuses.x à œuvrer ensemble et la pression timing est inconfortable, n’est-ce pas ? 😉

Merci pour ton attention, prends soin de toi

À +

🙏🏽

*Rejet et Abandon sont des sentiments qui activent (et/ou naissent de l’activation de) au moins deux des 4 émotions de la grammaire de base (tristesse, colère, peur/angoisse, dégoût, honte/culpabilité)

Pour travailler en profondeur sur les blessures d’abandon et de rejet, j’ai observé et expérimenté qu’il est nécessaire d’avoir appris l’alphabet de la grammaire émotionnelle et d’avoir changé de rapport avec ses émotions : il ne s’agit plus de lutter contre, mais de faire avec et de les considérer comme alliées. Alors seulement elles se transforment et montrent leurs vrais visages : les solutions.